CHENE France

Merci pour votre soutien… on continue !

Depuis 1989, cela fait 33 ans que vous nous apportez votre indéfectible soutien pour soutenir nos actions d’aide aux populations d’Artsakh et d’Arménie.

Nous souhaitons, une fois encore, vous exprimer nos remerciements. Vous avez contribué à la réussite de cette 30ème édition de notre Braderie annuelle (hors période de restriction Covid 19). La Braderie 2022 nous a ainsi permis de réaliser un bénéfice de plus de 44 000 €. À ce bénéfice s’ajoutent les nombreux dons reçus en 2022 qui nous permettent de poursuivre nos actions.

Fidèle à notre engagement de « fixer » les populations sur leur territoire ancestral en Arménie et en Artsakh, principalement dans les zones frontalières, l’association CHÉNE s’est engagée, en 2021, dans une opération de réinstallation des familles d’Artsakh déplacées, en coordination avec les autorités d’Artsakh, l’ONG SHEN (Arménie) et la Fondation Yalkésian (Canada).

Cette opération a permis à plus de 30 familles de réfugiés (soit 150 personnes) de retrouver un toit, une maison équipée et une activité professionnelle. À l’heure actuelle, en raison du blocus du corridor de Latchine exercé par de « pseudo écologistes » azéris relayés depuis quelques jours par l’armée azerbaïdjanaise, cette opération de réinstallation est suspendue jusqu’à ce que le conflit trouve un règlement entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan.

De même, notre projet de reconstruire un canal d’irrigation pour le village d’Arpunk (région de Varténis) est suspendu au départ des troupes d’occupation azéries qui empêchent tout démarrage des travaux alors que matériaux et matériels ont été achetés et acheminés depuis des mois dans le village.

Face au blocus de l’Artsakh et aux agressions de l’Azerbaïdjan sur le territoire de l’Arménie, et dans l’attente d’une situation pacifiée, nous avons décidé d’affecter une part de notre trésorerie à des mesures destinées à assurer la sécurité des populations arméniennes en danger.

Nous ne manquerons pas de vous tenir informés de nos prochains engagements.

L’Arménie ne peut compter que sur elle-même et sa diaspora